Aujourd’hui, on quitte la Loire (on y dormait trop), et on arrive à … la mer (pour amateurs de café)!!!
Globalement sur la journée, beaucoup de petites routes très sympathiques et agréables à rouler, majoritairement bitumées. Mention spéciale à la piste entre Paimboeuf (où nous avons acheté du pain …mais pas de bœuf) et Saint-Nazaire, faite de sable compact, qui aurait été parfaite si elle n’avait pas été semée de rigoles (qu’est-ce qu’on se marre), plutôt dangereuses (mais les meilleures blagues demandent une chute, non? Désolé, ça sera pour une autre fois).
Nous avons par ailleurs croisé de nombreux (12) groupes qui avaient l’air de faire de la rando à vélo également, mais qui allaient dans l’autre sens (nous n’avons compté que ceux avec bagages).
Dans les coïncidences du jour, après être passés à Le Pèlerin avant-hier, nous sommes passés par L’Ermitage aujourd’hui.
Une fois l’estuaire passé (assez hideux par ailleurs, la rive Nord est truffée de grands édifices portuaires/industriels, c’était plus intéressant de regarder la route), on voit la végétation radicalement changer, depuis les feuillus vers les pins (j’ai déjà fait une blague sur le pain, je vais arrêter là).
Dès notre entrée en Vendée, la ballade est devenue ventée (à peine 5mn après notre entrée, ça ne peut pas être une coïncidence), mais c’était très raisonnable. Après avoir exploré au gré de la véloroute un certain nombre de petites routes très sympathiques, bordés notamment d’un champ d’éoliennes (dont les numéros de séries n’étaient pas dans l’ordre, très perturbant), nous avons décidé de nous arrêter dans un patelin que la famille de Benoît connaît très bien (de nom), au moins du côté paternel, à savoir La Barre-de-Monts (pour les autres, c’est très proches d’un haut lieu de vacances familiales depuis quelques décennies).
Comme après notre précédent gros jour de vélo, nous avons été accueillis par pas mal de moustiques (le nom de Camping des Marais aurait dû nous mettre la puce (le moustique!) à l’oreille).
Autant j’avais parlé d’un score de 15-16 la dernière fois, autant là les victimes s’élèvent à au moins 50 (dont au moins deux doublés, deux morts d’un coup), c’est hallucinant.
Sur ce, il est l’heure d’aller chasser tous les énergumènes qui se seraient cachés dans la tente…
Départ : Le Migron (44320), Arrivée : La Barre-de-Monts (85550)
Distance parcourue : 102,53km
Coucou Caro !! Benoit
C’est Sophie, ancienne collègue de Caroline!!! Bah ça alors quel périple, Bravo!! quel dommage, nous étions sur St Jean De Monts (chez mes parents), alors… la Barre de Monts, je connais!!
…..genre périple… notre voiture est …au garage…. petite panne…. passons les détails…
Super, nous allons « suivre » votre grand et beau voyage, merci de nous faire rêver !!!
Plein plein de courage à vous,
Bizzzz
Sophie
Ola Sophie !
On a été voisins, c’est chou comme tout ^^
J’espère que tu as passé de bonnes vacances. Le coup de la panne, ça rappellera certainement quelque chose à Eliane…
Bonne journée !
Merci pour ces descriptions qui nous font bien rire !
J’ai l’impression que vous augmentez les kms parcourus de jour en jour, c’est impressionnant
Si vous voulez moins de moustiques, vous pouvez nous rejoindre dans les alpes. Le contrainte du moment est de faire face à quelques orages revigorants. Un avantage cependant : un nettoyage complet des impacts de moustiques sur la toile de tente. A vous de choisir
Il y a plusieurs facteurs je pense.
D’abord on s’est levé une bonne heure plus tôt qu’au début ces derniers jours, ce qui fait une heure de vélo en plus, et en plus on est sur des meilleures pistes, donc une vitesse moyenne plus élevée.
Après, peut-être que les jambes se musclent aussi…
Sinon, les Alpes ça monte, et on n’aime pas trop la pluie ou les orage quand on est sous la tente pour une seule nuit (il faut replier une tente mouillée).
Du coup merci, mais non merci 😀