Jours 90-95, Wacken : des rencontres

Bon, maintenant qu’on s’entend enfin réfléchir que le festival est terminé, place à un petit récapitulatif, histoire de partager ce qu’on a vécu pendant presque une semaine.

Tout d’abord, à Wacken, on rencontre pas mal de monde, et on discute. Certaines personnes que l’on croise et qui ont leurs habitudes dans le festival nous disent même que si la qualité de la musique est très variable d’une année à l’autre, l’ambiance et les rencontres restent toujours au top.

Nous rencontrons assez tôt (directement en arrivant) un allemand fort sympathique, instituteur dans une école bilingue germano-française dans le nord de l’Allemagne, qui a sa tente à côté de la notre.
Juste après s’installent à côté deux allemands, et nous sympathisons assez rapidement avec eux également. Nous passerons même la soirée en leur compagnie, pour un moment assez convivial (jusqu’à ce que le plus âgé des deux, environ la soixantaine, se mette à draguer assez lourdement Caro, sous le nez de Benoît).

Nous passons une bonne partie du festival en compagnie du prof et du second arrivant (celui qui ne drague pas), dans une ambiance bon enfant, en jonglant entre l’allemand, l’anglais et le français, en fonction des compétences linguistiques des uns et des autres.

L’avant-dernier jour, nous croisons deux anglais lors d’une partie de baby-foot, qui prévoient un voyage en France dans un futur pas trop lointain. Caro propose donc de prendre leur e-mail pour pouvoir leur indiquer les coins sympa. En échangeant des mails dans la soirée, nous décidons de passer la dernière journée ensemble.

Et bien ces deux anglais se sont également révélé être de très bonne compagnie. L’un deux travaille dans l’informatique, et l’autre donne des cours de guitare (et est un passionné d’histoire, avec un mémoire de Master réalisé sur la croisades des albigeois).  En nous découvrant de nombreux points d’intérêt communs, nous discutons toute la journée, en écoutant d’une oreille distraite les groupes qui jouent.

Bref, à part quelques cas (isolés certes, mais qui ne permettent pas de se détendre complètement) de personnes lourdingues, nous avons réussi à passer le festival en bonne compagnie, dans une ambiance conviviale et bon enfant. Un beau moment de rapprochement des peuples !!!

2 réponses sur “Jours 90-95, Wacken : des rencontres”

  1. Hey, welcome back après cette coupure festivalière !
    Oui il y a des relous garous à beaucoup de coins de rue ou de festivals …
    Contente que cela n’ait pas gâché la fête !

    1. Merci merci 🙂
      L’avantage de repérer les relous rapidement, c’est qu’on n’a pas le temps de tisser des liens d’amitié, et on ne regrette donc pas franchement de ne plus leur adresser la parole.

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